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KCHO

2022-03-03 / 2022-04-02
expos

De  son vrai nom Alexis Leyva Machado, Kcho est né à Nueva Gerona, ville principale de la Isla de la Juventud à Cuba. Diplômé en 1990 de l’Ecole Nationale des Arts Plastiques de La Havane, il expose dès 1991 à l’étranger, au Musée Alejandro Otero de Caracas (Venezuela). En 1994 il réalise Regata (Régate), un ensemble de petites barques de bois et d’objets qu’il a récoltés sur les plages cubaines. La même année, cette installation est présentée lors de la cinquième Biennale de La Havane avant d’intégrer la collection permanente du musée Ludwig de Cologne. Nous y trouvons déjà les thèmes de la mer, du bateau - et à travers eux celui bien sûr de la migration - qui seront récurrents dans l’œuvre de l’artiste. La mer fait partie de l’identité même de Cuba. Elle est indissociable de l’histoire de l’île. C’est par la mer que sont arrivés les indiens Arawaks, les conquistadors espagnols puis les navires négriers qui amenèrent des côtes africaines des millions d’esclaves. Récurrente également dans l’œuvre de Kcho, son utilisation de matériaux usés qui ne sont pas pour Kcho des détritus mais, au contraire, des éléments chargés d’énergie, de vécu. Il les compare à « des vies passées ». 

 

En un peu plus de quinze ans Kcho s’est imposé comme l’un des grands artistes contemporains. Le Museum Of Modern Art de New York ne s’y est pas trompé qui dès 1996 acquérait l’une des ses œuvres majeures, la Columna Infinita, accumulation verticale d’armatures de barques, de rames… Ce sujet de la Columna Infinita reviendra souvent dans son œuvre, tant sculpté que dessiné ou peint.

 

Les œuvres de Kcho sont aujourd’hui présentes dans certaines des plus grandes collections publiques (MOMA de New York, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía de Madrid, Museum of Contemporary Art de Los Angeles, Museo Nacional Palacio de Bellas Artes de La Havane…), il a participé à près de deux cents expositions collectives à Cuba bien sûr mais aussi en France, en Espagne, au Canada, au Portugal, au Sénégal, au Brésil…

De  son vrai nom Alexis Leyva Machado, Kcho est né à Nueva Gerona, ville principale de la Isla de la Juventud à Cuba. Diplômé en 1990 de l’Ecole Nationale des Arts Plastiques de La Havane, il expose dès 1991 à l’étranger, au Musée Alejandro Otero de Caracas (Venezuela). En 1994 il réalise Regata (Régate), un ensemble de petites barques de bois et d’objets qu’il a récoltés sur les plages cubaines. La même année, cette installation est présentée lors de la cinquième Biennale de La Havane avant d’intégrer la collection permanente du musée Ludwig de Cologne. Nous y trouvons déjà les thèmes de la mer, du bateau - et à travers eux celui bien sûr de la migration - qui seront récurrents dans l’œuvre de l’artiste. La mer fait partie de l’identité même de Cuba. Elle est indissociable de l’histoire de l’île. C’est par la mer que sont arrivés les indiens Arawaks, les conquistadors espagnols puis les navires négriers qui amenèrent des côtes africaines des millions d’esclaves. Récurrente également dans l’œuvre de Kcho, son utilisation de matériaux usés qui ne sont pas pour Kcho des détritus mais, au contraire, des éléments chargés d’énergie, de vécu. Il les compare à « des vies passées ». 

 

En un peu plus de quinze ans Kcho s’est imposé comme l’un des grands artistes contemporains. Le Museum Of Modern Art de New York ne s’y est pas trompé qui dès 1996 acquérait l’une des ses œuvres majeures, la Columna Infinita, accumulation verticale d’armatures de barques, de rames… Ce sujet de la Columna Infinita reviendra souvent dans son œuvre, tant sculpté que dessiné ou peint.

 

Les œuvres de Kcho sont aujourd’hui présentes dans certaines des plus grandes collections publiques (MOMA de New York, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía de Madrid, Museum of Contemporary Art de Los Angeles, Museo Nacional Palacio de Bellas Artes de La Havane…), il a participé à près de deux cents expositions collectives à Cuba bien sûr mais aussi en France, en Espagne, au Canada, au Portugal, au Sénégal, au Brésil…

De  son vrai nom Alexis Leyva Machado, Kcho est né à Nueva Gerona, ville principale de la Isla de la Juventud à Cuba. Diplômé en 1990 de l’Ecole Nationale des Arts Plastiques de La Havane, il expose dès 1991 à l’étranger, au Musée Alejandro Otero de Caracas (Venezuela). En 1994 il réalise Regata (Régate), un ensemble de petites barques de bois et d’objets qu’il a récoltés sur les plages cubaines. La même année, cette installation est présentée lors de la cinquième Biennale de La Havane avant d’intégrer la collection permanente du musée Ludwig de Cologne. Nous y trouvons déjà les thèmes de la mer, du bateau - et à travers eux celui bien sûr de la migration - qui seront récurrents dans l’œuvre de l’artiste. La mer fait partie de l’identité même de Cuba. Elle est indissociable de l’histoire de l’île. C’est par la mer que sont arrivés les indiens Arawaks, les conquistadors espagnols puis les navires négriers qui amenèrent des côtes africaines des millions d’esclaves. Récurrente également dans l’œuvre de Kcho, son utilisation de matériaux usés qui ne sont pas pour Kcho des détritus mais, au contraire, des éléments chargés d’énergie, de vécu. Il les compare à « des vies passées ». 

 

En un peu plus de quinze ans Kcho s’est imposé comme l’un des grands artistes contemporains. Le Museum Of Modern Art de New York ne s’y est pas trompé qui dès 1996 acquérait l’une des ses œuvres majeures, la Columna Infinita, accumulation verticale d’armatures de barques, de rames… Ce sujet de la Columna Infinita reviendra souvent dans son œuvre, tant sculpté que dessiné ou peint.

 

Les œuvres de Kcho sont aujourd’hui présentes dans certaines des plus grandes collections publiques (MOMA de New York, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía de Madrid, Museum of Contemporary Art de Los Angeles, Museo Nacional Palacio de Bellas Artes de La Havane…), il a participé à près de deux cents expositions collectives à Cuba bien sûr mais aussi en France, en Espagne, au Canada, au Portugal, au Sénégal, au Brésil…

De  son vrai nom Alexis Leyva Machado, Kcho est né à Nueva Gerona, ville principale de la Isla de la Juventud à Cuba. Diplômé en 1990 de l’Ecole Nationale des Arts Plastiques de La Havane, il expose dès 1991 à l’étranger, au Musée Alejandro Otero de Caracas (Venezuela). En 1994 il réalise Regata (Régate), un ensemble de petites barques de bois et d’objets qu’il a récoltés sur les plages cubaines. La même année, cette installation est présentée lors de la cinquième Biennale de La Havane avant d’intégrer la collection permanente du musée Ludwig de Cologne. Nous y trouvons déjà les thèmes de la mer, du bateau - et à travers eux celui bien sûr de la migration - qui seront récurrents dans l’œuvre de l’artiste. La mer fait partie de l’identité même de Cuba. Elle est indissociable de l’histoire de l’île. C’est par la mer que sont arrivés les indiens Arawaks, les conquistadors espagnols puis les navires négriers qui amenèrent des côtes africaines des millions d’esclaves. Récurrente également dans l’œuvre de Kcho, son utilisation de matériaux usés qui ne sont pas pour Kcho des détritus mais, au contraire, des éléments chargés d’énergie, de vécu. Il les compare à « des vies passées ». 

 

En un peu plus de quinze ans Kcho s’est imposé comme l’un des grands artistes contemporains. Le Museum Of Modern Art de New York ne s’y est pas trompé qui dès 1996 acquérait l’une des ses œuvres majeures, la Columna Infinita, accumulation verticale d’armatures de barques, de rames… Ce sujet de la Columna Infinita reviendra souvent dans son œuvre, tant sculpté que dessiné ou peint.

 

Les œuvres de Kcho sont aujourd’hui présentes dans certaines des plus grandes collections publiques (MOMA de New York, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía de Madrid, Museum of Contemporary Art de Los Angeles, Museo Nacional Palacio de Bellas Artes de La Havane…), il a participé à près de deux cents expositions collectives à Cuba bien sûr mais aussi en France, en Espagne, au Canada, au Portugal, au Sénégal, au Brésil…